Comment se rendre à Copacabaña
Le taxi vous déposera à Copacabana au prix de 20 € à 25 €, selon votre négociation avec le chauffeur. Moins rapides mais plus abordables, les lignes de bus 2016 et 2017 relient l’aéroport de Rio à Copacabana pour moins de 9 €. L’option la moins chère consiste à prendre le BRT bus jusqu’à la gare Vicente de Carvalho puis à rejoindre Copacabana en métro : vous en serez quitte pour 4 €. Sinon, on peut tout simplement y aller en Uber.
Que voir ?
Marcher sur la plage de Copacabana est l’une des choses à faire absolument sur place. Une magnifique baie ronde se déploie entre le sable et la mer. Les adeptes du farniente s’exhibent à l’ombre des parasols, alors que les sportifs s’adonnent à plusieurs disciplines nautiques. Beach-tennis, soccer, foot-volley, sans oublier le beach-volley… Chacun son goût ! La plage mythique de Rio est également un haut lieu de la fête.
Vivre un rêve éveillé sur la plage de Copacabana
Jeudi 16 janvier. Le temps de déjeuner sur le pouce… et sur la plage, et on reprend le métro, direction Copacabana, la plage mythique de Rio.
4,5 km de long ! Qui dit mieux ? La plage de Copacabana fait rêver le monde entier mais à vrai dire, elle n’a rien d’exceptionnel mis à part cette longue anse de sable blanc qui s’étire jusqu’à perte de vue. Joueurs de volley et de football squattent le bord de mer. Coups de soleil oblige, pas de baignade cette fois-ci. On décide de remonter tranquillement la plage jusqu’à Leme fermé par le Moro do Leme.
Le front de mer témoigne d’un passé fastueux, du temps où le Copacabana Palace attirait une foule de touristes du monde entier. Aujourd’hui le ballet des voitures de luxe est moins important. Des grappes de palmiers se dressent tous les cinquante mètres en jetant leurs ombres sur les célèbres pavés « en vague » de l’avenue. Aux terrasses des cafés, c’est un tout autre ballet qui agite les tables dressées face à la mer : une nuée de vendeurs de rue harcèlent sans arrêt les touristes en proposant babioles et souvenirs. Du coup, rester là n’est pas très agréable.
17 heures. Le décalage horaire fait son effet. J’en ai plein les tongues ! « Et si on retournait se reposer un peu à l’hôtel ? » Ok, on y va. Un petit détour par N.D. Gloria de Outeiro pour admirer la façade d’une belle église baroque et la vue qu’elle offre sur la ville de Rio, et on rentre. Très bonne idée. Le vent se lève et un immense orage se prépare. Une heure plus tard, c’est un déluge d’eau qui s’abat sur la ville ! Des éclairs blancs zèbrent le ciel. Le lendemain, on apprendra que plus de 10.000 impacts de foudre ont été recensés. Le Christ rédempteur y a même perdu un doigt !