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S’envoler pour l’Indonésie, via Singapour, pour arriver à Jogjakarta, l’aventure, c’est l’aventure !

Arrivée à Jogjakarta après une belle escale à Singapour

Mercredi 24 et Jeudi 25 et vendredi 26 juin. Destination du bout du monde pour ces vacances de juillet avec ma fille… Direction l’Indonésie, Java, Bali, Lombok, Flores, Komodo et les îles Gili… Wouah ! Quel programme ! Départ dans la précipitation puisqu’au final je dois me rendre à Paris en voiture pour y récupérer Léa. Et pan, prends donc les 280 euros du parking dans les dents ! Ok, on relativise. On part pour le pays des rêves bleus.

Retour à Changi Airport. Prendre le métro à Singapour est une formalité. Il faut juste attendre son tour bien sagement pour grimper à bord. Voie de gauche bien sûr. Ok, une fois dans le terminal, direction les guichets d’Air Asia. Compagnie incontournable quand on veut aller se balader de ce côté-ci de l’hémisphère. Du low-coast très efficace qui permet de voyager à bon prix et de rayonner partout en Asie. Et je ne vous parle même pas des hôtesses de l’air. Bref. Une fois à bord, on a juste le temps de regarder les nuages défiler derrière les hublots et d’admirer les sommets des volcans indonésiens, car notre destination prochaine arrive à grand pas : Jogjakarta, la porte d’entrée des grands temples de l’île de Java.

Le vol aura été de courte durée, on gagne une heure avec le décalage horaire. Du coup, il est à peine midi quand on atterrit à l’aéroport de Jogjakarta. Le temps est beau, et ô divine surprise, il y fait beaucoup moins lourd qu’à Singapour. L’air des îles sans doute. Par contre, rien à voir avec Changi Airport. Ici, on est dans une tout autre dimension. 

Bienvenue en Indonésie. Aéroport minuscule et foule monstrueuse devant les guichets de l’immigration. Qu’importe, l’efficacité prime. Un policier nous attrape par l’épaule et nous indique un petit guichet à droite où nous pouvons régler les formalités d’entrée, et surtout acquérir le fameux sésame d’entrée dans le pays : le visa. Validité d’un petit mois, mais bien suffisant pour ce que nous avons à faire. 27 $ le visa, tout augmente. Heureusement, j’avais prévu d’emporter avec moi quelques gentils billets verts. Quant aux photographies exigées dans tous les forums, elles ne serviront à pas grand-chose. Ok, après avoir eu la chance d’être parmi les premiers à obtenir le visa, on retrouve la file de l’immigration et on fait tamponner notre passeport. 

Les bagages ? Encore plus simple que nulle part ailleurs dans le monde. Des employés les déchargent à même le sol, à deux pas des guichets de l’immigration. Pas très académique, mais ultra-efficace. Dernière étape avant de quitter les lieux : faire un peu de change avant d’entrer dans le pays. En routard averti, seuls 50 € suffiront. Plus question de changer le paquet. Marre de me faire plumer dans les aéroports. La fille me regarde d’un drôle d’air, mais je sais ce que je fais. Les “money changer” sont légion dans le pays.

Allez zou, on grimpe à bord d’un taxi officiel et on se laisse conduire jusqu’à l’hôtel : Fortune Fest Hotel. Un peu excentré, loin de Malioboro, le quartier traditionnel de Jogjakarta, mais un super hôtel pas trop cher et un accueil de première classe. Piscine de rêve, chambre hyper propre, confort moderne et personnel super accueillant. Une belle surprise dans ce voyage.

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