Comment visiter le temple Pura Luhur Uluwatu à Bali

Comment assister au spectacle de Kecak à l’Uluwatu temple ?

L’Uluwatu Temple ticket inclue la Kecak Fire Dance, un spectacle de danse basé sur le Ramayana. Il raconte l’histoire de Rama, Sita et Ravana à travers une chorégraphie accompagnée de chants traditionnels.

Combien coûte le ticket pour le spectacle ?

Le prix de l’entrée au Danse Kecak à Uluwatu est de 153.000 roupies indonésiennes (ce qui correspond à 9€ et 9$).

Comment assister au spectacle du Kecak au temple Pura Luhur Uluwatu ?

Jeudi 2 juillet. Après ce bel après-midi passé sur la plage de Pentai Uluwatu, il est grand temps de remonter les escaliers de la falaise. En passant, on récupère Léa en grande discussion avec des surfeurs du coin, et on retourne au parking où nous attend notre chauffeur. Cette fois-ci, direction le temple Pura Luhur Uluwatu.

Vingt petites minutes sont nécessaires pour accéder au site. Une fois sur le parking, on paye l’entrée du temple, on noue un sarong autour de la taille pour pénétrer dans les lieux. Sur l’esplanade, des singes « pickpockets » ont élu résidence et dérobent tout ce qu’ils peuvent. Gare aux lunettes et aux sacs. Un homme averti en vaut deux et on range tout consciencieusement avant de passer devant eux…

On prend aussitôt le chemin qui longe la falaise. Au coucher du soleil, la vue est tout bonnement fantastique. Panorama extraordinaire depuis les flancs de la falaise : les flots, le soleil couchant et les silhouettes des derniers surfeurs au-dessus des vagues. Magique.

Pura Luhur Uluwatu est avec le Tanah Lot et Besakith, le plus important temple de Bali. Entièrement dédié aux dieux de la Mer. Rien d’extraordinaire en termes d’architecture, mais quelle situation ! À flanc de falaise, il fait face à la mer. Son arène accueille chaque soir une représentation de danses traditionnelles, le kecak, organisée par les villageois de Pecatu. Pas donné (20.000 roupies par personne), mais à ne manquer sous aucun prétexte.

C’est à la tombée de la nuit que le Kecak commence. Les silhouettes de la légende balinaise se découpent dans le crépuscule. Les hommes du village entonnent les chants traditionnels. « Tchak, tchak, tchak… » Au bout d’une heure, il faut quand même aimer. Mais bon, le spectacle est superbe. Les costumes incroyables, les femmes d’une grande beauté. Dommage que la colonie de Chinois qui est venue voir le spectacle se permet de déranger tout le monde en plein milieu de la représentation ! Décidément, ces Chinois sont indécrottables. Où qu’ils aillent, ils étalent leurs mauvaises manières et leur mépris de la culture. 1,5 milliard de personnes à éduquer sur terre, il y a quand même du boulot !

À l’issue de la représentation, la foule (ceux qui sont restés bien sûr !) vient se mêler aux habitants pour prendre quelques clichés. Gentillesse extrême. Quel bonheur d’être là tout de même…

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