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Un dernier petit tour à Kuala Lampur avant de quitter la Malaisie

Un dernier petit tour à Chinatown avant de quitter la Malaisie

Mercredi 23 juillet. Dernier jour en Malaisie. Demain, on reprend les valises (neuves !) et on rembarque, direction Paris. Trois heures de route de Malacca à Kuala Lampur. Gare routière des plus simples et un bus en partance tous les quarts d’heure. Cool. Vers midi, nous voilà donc de retour à Kuala Lampur. Changement de programme. Pas question de retourner au Babylone Hôtel et de séjourner dans ce taudis… En cinq minutes chrono, je nous dégotte sur Expedia une chambre au V’la Garden Hôtel. Standing trois étoiles, ça devrait aller cette fois…

Le temps de déposer les affaires (chambre convenable sans plus…) et on file directement dépenser nos derniers ringgits sur le marché de Chinatown. Léa fait des affaires en or. Moi aussi. Mon casque beat a un son gigantesque ! Cool ! Après cette frénésie marchande, on file manger un bout… dans un restaurant arabe ! Un vrai délice. Chinatown nous étonnera toujours… Nos dernières heures en Malaisie nous sont comptées. Gorges serrées. Quel merveilleux voyage passé en compagnie de ma fille. Jamais je n’oublierai.

Vers 19 heures, nous revoici au V’la Garden Hôtel pour la nuit la plus courte de tout notre voyage… On avait cru touché le fond avec le Babylone Hôtel, mais là, on bat tous les records.

Bienvenue dans l’hôtel des fous ! Un couple de Chinois s’engueule dans la chambre d’à côté, au-dessus, une mère malaisienne hurle contre ses enfants pendant toute la nuit, tandis que dans les couloirs des mômes courent et font claquer les portes jusqu’à 4 heures du matin. Nuit blanche et KO debout… Autant se lever et commander un taxi pour nous ramener jusqu’à l’aéroport.

Et c’est parti pour plus de 16 heures de voyage. Nouvelle halte à Dubaï avant de réembarquer pour Paris. Arrivés à 8 heures. Ma valise sort du tapis en miettes. Les coques valent que dalle à Singapour… Quant à la poignée, elle finit par me lâcher entre les portes d’accès du métro parisien. Journée de merde.

Le moment de la séparation est encore terrible. J’aurai tellement préféré que cette putain de valise arrive en bon état. Gare de Lyon, premier train pour Montargis. Chapeau en berne. Vivement les prochaines aventures !

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